LA BASE ALAT N° 101
(GALAT 101)
La base ALAT n° 101 est créée, le 2 août 1959, à partir d'éléments du GH n° 2, afin d'administrer l'état-major du groupement de l'ALAT 101, le centre d'instruction, le GH n° 2 et assumer les charges territoriales de la base de Sétif-Aïn-Arnat. Cette unité statique est chargée de nombreuses missions, dont les principales sont :
– le commandement d'armes de la base,
– la responsabilité de la circulation aérienne, attachée à la qualité de commandant d'aérodrome, du commandant de la base ALAT 101,
– l'administration de l'état-major du groupement 101 et du GH n° 2,
– l'instruction des jeunes recrues destinées aux formations ALAT d'Algérie et du Sahara.
De plus, une mission particulière a été dévolue au commandant de la base, celle de commandant du sous-quartier d'Aïn-Arnat. À ce titre, l'assistance médicale gratuite s'est traduite par un total de 29 662 visites médicales.
Aux débuts, le lieutenant-colonel Marceau CRESPIN assume le commandement de la base 101 parallèlement au commandement du GALAT 101. Mais le 20 septembre 1960, l'état-major du groupement s'installe à Constantine aux côtés du corps d'armée, facilitant ainsi son travail et accroissant son efficacité. Le lieutenant-colonel Marcel BERTHELOT prend alors le commandement du GALAT 101, le chef d'escadron Roger SCHREIBER assumant le commandement de la base ALAT 101.
Le rôle de ce commandement est modifié, il consiste maintenant à conseiller techniquement le commandant du corps d'armée et de servir d'intermédiaire entre le COMALAT à Paris et les formations de l'ALAT dans le Constantinois. Il s'occupe aussi de toute la gestion du personnel et des matériels, aidé en cela par une direction du Matériel.
La base est vraisemblablement dissoute en fin d'année 1962 après le départ du GH n° 2.
– le commandement d'armes de la base,
– la responsabilité de la circulation aérienne, attachée à la qualité de commandant d'aérodrome, du commandant de la base ALAT 101,
– l'administration de l'état-major du groupement 101 et du GH n° 2,
– l'instruction des jeunes recrues destinées aux formations ALAT d'Algérie et du Sahara.
De plus, une mission particulière a été dévolue au commandant de la base, celle de commandant du sous-quartier d'Aïn-Arnat. À ce titre, l'assistance médicale gratuite s'est traduite par un total de 29 662 visites médicales.
Aux débuts, le lieutenant-colonel Marceau CRESPIN assume le commandement de la base 101 parallèlement au commandement du GALAT 101. Mais le 20 septembre 1960, l'état-major du groupement s'installe à Constantine aux côtés du corps d'armée, facilitant ainsi son travail et accroissant son efficacité. Le lieutenant-colonel Marcel BERTHELOT prend alors le commandement du GALAT 101, le chef d'escadron Roger SCHREIBER assumant le commandement de la base ALAT 101.
Le rôle de ce commandement est modifié, il consiste maintenant à conseiller techniquement le commandant du corps d'armée et de servir d'intermédiaire entre le COMALAT à Paris et les formations de l'ALAT dans le Constantinois. Il s'occupe aussi de toute la gestion du personnel et des matériels, aidé en cela par une direction du Matériel.
La base est vraisemblablement dissoute en fin d'année 1962 après le départ du GH n° 2.
Le PC, à gauche, et les aires de jeux de la base de Sétif-Aïn-Arnat. Ci-dessous, l'alignement des chalets et l'entrée du centre d'instruction "lieutenant COLLARD" (photos Henri RIOTTE).
D'autres photos de cette base sont disponibles dans le GH n° 2.