INSIGNE DE LA 675e COMPAGNIE DE RÉPARATION DE L'ALAT
(675e CRALAT à Sidi-Bel-Abbès,
puis le Cannet-des-Maures)
Homologation.
G 1461, le 8 novembre 1957.
L'homologation est demandée par la direction centrale du Matériel, le 31 octobre 1957.
Description.
Écu ancien d'azur à une cigogne volant en fasce, sommée d'une grenade de la Légion à bombe verte et flammes rouges, brochant sur trois pales d'argent surbrochant une roue dentée de même, le tout soutenu d'un croissant montant et ouvert d'or chargé de l'inscription noire "675e CRALAT".
Symbolisme.
La roue dentée et les pales rappellent la mission de soutien de la compagnie. Le croissant évoque son stationnement à Sidi-Bel-Abbès qui est aussi le berceau de la Légion (grenade à sept flammes rouge et vert).
Créateur.
Projet proposé par la maison DRAGO à la demande du lieutenant RINGENBACH, commandant la compagnie en juin 1957.
G 1461, le 8 novembre 1957.
L'homologation est demandée par la direction centrale du Matériel, le 31 octobre 1957.
Description.
Écu ancien d'azur à une cigogne volant en fasce, sommée d'une grenade de la Légion à bombe verte et flammes rouges, brochant sur trois pales d'argent surbrochant une roue dentée de même, le tout soutenu d'un croissant montant et ouvert d'or chargé de l'inscription noire "675e CRALAT".
Symbolisme.
La roue dentée et les pales rappellent la mission de soutien de la compagnie. Le croissant évoque son stationnement à Sidi-Bel-Abbès qui est aussi le berceau de la Légion (grenade à sept flammes rouge et vert).
Créateur.
Projet proposé par la maison DRAGO à la demande du lieutenant RINGENBACH, commandant la compagnie en juin 1957.
Fabrications.
A : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche. Marques sur les côtés.
B : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche. Marques sur les côtés. Erreur d'émaillage : la queue de la cigogne est bleue.
C : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche, aux 4/5e. Marques sur les côtés
D : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation verticale en haut à gauche.
E : DRAGO, faux numéro d'homologation H 626, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO.
F : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à une pastille ronde marquée DRAGO. Homologation verticale en haut à gauche. Marques en biais, en pointe.
G : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle "prisonnière" à une pastille ronde non marquée. Homologation verticale en haut à gauche. Marques en biais, en pointe.
H : DRAGO, dos guilloché, plat et argenté, avec monture épingle à une pastille ronde marquée DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche. Marques en bas.
I : Sans marque, peint, avec dos lisse avec monture épingle.
En 1957, à la demande du lieutenant RINGENBACH, commandant la compagnie, la maison DRAGO réalise trois maquettes.
Un marché est conclu pour la fourniture de 1 000 insignes.
Une première tranche de 250 exemplaires est livrée en janvier 1958, suivie par une deuxième de 250 en juin 1958, puis, une troisième de 250 en novembre 1960.
S'y ajoutent 300 exemplaires en octobre 1962, 265 en novembre 1963, 260 en mars 1966 ; plus deux insignes en argent (offerts) et 100 en mai 1970, à la demande de l'EAALAT, puis 110 en juillet 1970 et enfin, 105 en février 1972.
Soit au total neuf tirages de 1957 à 1972, pour 1 890 insignes ordinaires et deux en argent.
Remerciements.
Jacques MERLIN, Jean NEVERS, François PROISY.
A : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche. Marques sur les côtés.
B : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche. Marques sur les côtés. Erreur d'émaillage : la queue de la cigogne est bleue.
C : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche, aux 4/5e. Marques sur les côtés
D : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO. Homologation verticale en haut à gauche.
E : DRAGO, faux numéro d'homologation H 626, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à deux pastilles rondes marquées DRAGO.
F : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle à une pastille ronde marquée DRAGO. Homologation verticale en haut à gauche. Marques en biais, en pointe.
G : DRAGO, dos guilloché, plat et doré, avec monture épingle "prisonnière" à une pastille ronde non marquée. Homologation verticale en haut à gauche. Marques en biais, en pointe.
H : DRAGO, dos guilloché, plat et argenté, avec monture épingle à une pastille ronde marquée DRAGO. Homologation horizontale en haut à gauche. Marques en bas.
I : Sans marque, peint, avec dos lisse avec monture épingle.
En 1957, à la demande du lieutenant RINGENBACH, commandant la compagnie, la maison DRAGO réalise trois maquettes.
Un marché est conclu pour la fourniture de 1 000 insignes.
Une première tranche de 250 exemplaires est livrée en janvier 1958, suivie par une deuxième de 250 en juin 1958, puis, une troisième de 250 en novembre 1960.
S'y ajoutent 300 exemplaires en octobre 1962, 265 en novembre 1963, 260 en mars 1966 ; plus deux insignes en argent (offerts) et 100 en mai 1970, à la demande de l'EAALAT, puis 110 en juillet 1970 et enfin, 105 en février 1972.
Soit au total neuf tirages de 1957 à 1972, pour 1 890 insignes ordinaires et deux en argent.
Remerciements.
Jacques MERLIN, Jean NEVERS, François PROISY.