STAGES OBSERVATEUR
Source pour les stages 1 à 9 : document extrait de l’ouvrage « les ailes de la terre » de André-Jean BERTHELOT.
En outre, ont été effectués :
Deux stages d’information de 8 jours pour officiers supérieurs en juillet 1946.
Deux stages d’information de 8 jours pour cent élèves de l’E.A.A, du 7 au 12 octobre 1946 et du 14 au 19 octobre 1946.
Deux stages d’information pour 76 élèves de l’E.A.A, du 8 au 11 mai 1946 et du 13 au 19 mai 1946.
Un stage d’information de 2 jours pour 45 élèves de l’E.A.A, les 13 et 14 juin 1947.
Certificats d’observateur.
Le certificat d’observateur est décerné, en application de la D.E n° 6967 EMC/FA/C/3.1 en date du 05/08/1948 aux officiers dont les noms suivent :
Lieutenant-colonel CHANAL ; chef d’escadrons DELAINE ; capitaines : RAZY, SUNYACH ; lieutenants : CLAUSSE, DELARBOULAS, DURAND, FLEURENCE, BOULEAU ; sous-Lieutenants : LECA, MINET, SIMOND, SOUILLÉ.
Information donnée par André-Jean BERTHELOT :
Concordance des participants aux stages observateur et leur attribution du "certificat" - maintenant brevet - d'observateur".
Si on chiffre le nombre de participants aux stages de formation et information (durée supérieure à quelques jours), dans la période qui va du début du CPOA - décembre 1945 - à décembre 1952, on arrive à un total de 199. Mais pourrait-on dire que les lieutenants qui on suivi le sage d'information du 26 avril au 15 mai 1948 ont subi une véritable formation digne d'un brevet ? À part un cas particulier, le LTN COFFRAND qui aura son certificat bien après. Si le général, avec qui j'ai eu de très nombreux échanges, était encore là, je ne manquerais pas de le lui demander. Mais je crois, en l’occurrence à un cas tout particulier. Il y a d'autres exemples. Les stages, en effet, duraient au moins 2 mois pleins et jusqu'à 3 mois et demi, ceci en fonction de la météo qui était souvent "capricieuse" dès octobre jusqu'à avril. Je le sais pour y avoir vécu près de 7 ans.
Si, en comparaison, dans le même temps, on relève le nombre de certificats d'observateur attribués on arrive à 143. Encore faudrait-il voir la correspondance avec les participants des stages.
143 en 7 ans, cela fait 20 par an. On ne sait pas combien il y avait déjà d'observateurs brevetés : les observateurs aérostiers d'avant-guerre (armée de l'Air) comme le CDT NAVELET - devenu COMALAT -, le COL d'ARNAUDY, mon père, les observateurs (les "Agents Voyeurs") formés à Lourmel pour les sections d'aviation d'artillerie. Comme il y a eu 59 sections d'observation aérienne d'artillerie (SOAA), cela doit représenter un certain nombre d'observateurs : 2 avions par section, donc au moins 2 observateurs, donc, tout au moins théoriquement, une bonne centaine à rajouter. Même si après, on retrouve des noms connus comme PETITJEAN, BAGARD, CAPIEU, HOUDAYER et j'en oublie d'autres.
Remerciements : André-Jean BERTHELOT, Louis-Yves DUMINIL.
Deux stages d’information de 8 jours pour officiers supérieurs en juillet 1946.
Deux stages d’information de 8 jours pour cent élèves de l’E.A.A, du 7 au 12 octobre 1946 et du 14 au 19 octobre 1946.
Deux stages d’information pour 76 élèves de l’E.A.A, du 8 au 11 mai 1946 et du 13 au 19 mai 1946.
Un stage d’information de 2 jours pour 45 élèves de l’E.A.A, les 13 et 14 juin 1947.
Certificats d’observateur.
Le certificat d’observateur est décerné, en application de la D.E n° 6967 EMC/FA/C/3.1 en date du 05/08/1948 aux officiers dont les noms suivent :
Lieutenant-colonel CHANAL ; chef d’escadrons DELAINE ; capitaines : RAZY, SUNYACH ; lieutenants : CLAUSSE, DELARBOULAS, DURAND, FLEURENCE, BOULEAU ; sous-Lieutenants : LECA, MINET, SIMOND, SOUILLÉ.
Information donnée par André-Jean BERTHELOT :
Concordance des participants aux stages observateur et leur attribution du "certificat" - maintenant brevet - d'observateur".
Si on chiffre le nombre de participants aux stages de formation et information (durée supérieure à quelques jours), dans la période qui va du début du CPOA - décembre 1945 - à décembre 1952, on arrive à un total de 199. Mais pourrait-on dire que les lieutenants qui on suivi le sage d'information du 26 avril au 15 mai 1948 ont subi une véritable formation digne d'un brevet ? À part un cas particulier, le LTN COFFRAND qui aura son certificat bien après. Si le général, avec qui j'ai eu de très nombreux échanges, était encore là, je ne manquerais pas de le lui demander. Mais je crois, en l’occurrence à un cas tout particulier. Il y a d'autres exemples. Les stages, en effet, duraient au moins 2 mois pleins et jusqu'à 3 mois et demi, ceci en fonction de la météo qui était souvent "capricieuse" dès octobre jusqu'à avril. Je le sais pour y avoir vécu près de 7 ans.
Si, en comparaison, dans le même temps, on relève le nombre de certificats d'observateur attribués on arrive à 143. Encore faudrait-il voir la correspondance avec les participants des stages.
143 en 7 ans, cela fait 20 par an. On ne sait pas combien il y avait déjà d'observateurs brevetés : les observateurs aérostiers d'avant-guerre (armée de l'Air) comme le CDT NAVELET - devenu COMALAT -, le COL d'ARNAUDY, mon père, les observateurs (les "Agents Voyeurs") formés à Lourmel pour les sections d'aviation d'artillerie. Comme il y a eu 59 sections d'observation aérienne d'artillerie (SOAA), cela doit représenter un certain nombre d'observateurs : 2 avions par section, donc au moins 2 observateurs, donc, tout au moins théoriquement, une bonne centaine à rajouter. Même si après, on retrouve des noms connus comme PETITJEAN, BAGARD, CAPIEU, HOUDAYER et j'en oublie d'autres.
Remerciements : André-Jean BERTHELOT, Louis-Yves DUMINIL.