LES GRANDS EXERCICES DE LA 4e BAC DEPUIS 2016
BACCARAT 2018 fut un exercice en terrain libre de grande ampleur (4 000 km² entre les camps d'entraînement de Mailly, Suippes, Sissonne et Mourmelon), permettant l’engagement d’un volume de forces important (1 400 participants et 50 hélicoptères) dans le cadre d’un conflit de haute intensité.
Pour les régiments d’hélicoptères de combat, il venait en complément d’entraînements de moindre ampleur, plus spécifiques et dédiés à la préparation des engagements en Afrique. Pour les forces à terre, il offrait l’opportunité de disposer d’un exercice "clef en main" pour intégrer la manœuvre au sol et la manœuvre aéromobile.
Organisé et dirigé par l’état-major de la 4e brigade d’aérocombat, BACCARAT a constitué la synthèse d'une année de préparation opérationnelle à l'aérocombat, qui visait à démultiplier l’efficacité d’une force en profitant de l’allonge, de la puissance de feu et des changements de rythme qu’offre l’hélicoptère.
Au cours d’une semaine dense se concluant par des tirs réels, cet exercice a éprouvé les compétences et savoir-faire tactiques et techniques des nombreuses unités interarmes participantes (1er, 3e et 5e RHC, les unités spécialisées faisant partie du premier champ de coopération avec la 4e BAC (commandos parachutistes et de montagne, unités du génie, d’artillerie, de renseignement, du train, cynophiles…) et le 3e régiment d’infanterie de Marine (3e RIMa) qui terminait son année d’adaptation à l’aérocombat).
Pour les régiments d’hélicoptères de combat, il venait en complément d’entraînements de moindre ampleur, plus spécifiques et dédiés à la préparation des engagements en Afrique. Pour les forces à terre, il offrait l’opportunité de disposer d’un exercice "clef en main" pour intégrer la manœuvre au sol et la manœuvre aéromobile.
Organisé et dirigé par l’état-major de la 4e brigade d’aérocombat, BACCARAT a constitué la synthèse d'une année de préparation opérationnelle à l'aérocombat, qui visait à démultiplier l’efficacité d’une force en profitant de l’allonge, de la puissance de feu et des changements de rythme qu’offre l’hélicoptère.
Au cours d’une semaine dense se concluant par des tirs réels, cet exercice a éprouvé les compétences et savoir-faire tactiques et techniques des nombreuses unités interarmes participantes (1er, 3e et 5e RHC, les unités spécialisées faisant partie du premier champ de coopération avec la 4e BAC (commandos parachutistes et de montagne, unités du génie, d’artillerie, de renseignement, du train, cynophiles…) et le 3e régiment d’infanterie de Marine (3e RIMa) qui terminait son année d’adaptation à l’aérocombat).
BACCARAT 2019 visait à maintenir le haut niveau de préparation opérationnelle de la 4e BAC en combinant des phases de manœuvres et de tirs réels. Cet exercice a permis la coopération de quatre groupements tactiques interarmes à travers un scénario de combat de haute intensité.
Ces groupements étaient articulés autour des 1er, 3e et 5e RHC (régiment d’hélicoptères de combat), d’un bataillon multinational d’hélicoptères sous commandement espagnol et de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). À noter également l’engagement d’hélicoptères britanniques au cours de l’exercice (hélicoptères Apache, WildCat et Chinook).
Placés sous l’autorité du général Frédéric GOUT, commandant la 4e BAC, ils étaient appuyés par le groupement de commandos parachutistes de la 11e brigade parachutiste, le groupement de commandos de montagne de la 27e brigade d’infanterie de montagne, un groupement renseignement multicapteurs, des unités d’artillerie, de génie et un détachement du 132e régiment d’infanterie cynotechnique (132e RIC). Ils étaient soutenus par des détachements du train, du service de santé des armées et du service des essences des armées.
Regroupant près de 1 500 militaires en continu (2 200 en tout ont été engagés sur la durée de l’exercice), plus de 50 hélicoptères et 80 véhicules blindés, BACCARAT était basé sur un scénario de combat en Centre-Europe. Complémentaire d’exercices plus spécifiques dédiés à l’engagement des unités de la brigade contre des groupes armés terroristes dans la bande Sahélo-Saharienne dans le cadre de l’opération BARKHANE, cet exercice a visé à maintenir le haut niveau de préparation opérationnelle de la 4e BAC sur l’ensemble du spectre de ses missions, face à des ennemis plus conventionnels.
Ainsi ce scénario au plus près de la réalité, portée par des hélicoptères, véritable fer de lance de la manœuvre aéroterrestre, cette coopération interarmes et interalliés a permis d’unir forces terrestres et aériennes.
Ces groupements étaient articulés autour des 1er, 3e et 5e RHC (régiment d’hélicoptères de combat), d’un bataillon multinational d’hélicoptères sous commandement espagnol et de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). À noter également l’engagement d’hélicoptères britanniques au cours de l’exercice (hélicoptères Apache, WildCat et Chinook).
Placés sous l’autorité du général Frédéric GOUT, commandant la 4e BAC, ils étaient appuyés par le groupement de commandos parachutistes de la 11e brigade parachutiste, le groupement de commandos de montagne de la 27e brigade d’infanterie de montagne, un groupement renseignement multicapteurs, des unités d’artillerie, de génie et un détachement du 132e régiment d’infanterie cynotechnique (132e RIC). Ils étaient soutenus par des détachements du train, du service de santé des armées et du service des essences des armées.
Regroupant près de 1 500 militaires en continu (2 200 en tout ont été engagés sur la durée de l’exercice), plus de 50 hélicoptères et 80 véhicules blindés, BACCARAT était basé sur un scénario de combat en Centre-Europe. Complémentaire d’exercices plus spécifiques dédiés à l’engagement des unités de la brigade contre des groupes armés terroristes dans la bande Sahélo-Saharienne dans le cadre de l’opération BARKHANE, cet exercice a visé à maintenir le haut niveau de préparation opérationnelle de la 4e BAC sur l’ensemble du spectre de ses missions, face à des ennemis plus conventionnels.
Ainsi ce scénario au plus près de la réalité, portée par des hélicoptères, véritable fer de lance de la manœuvre aéroterrestre, cette coopération interarmes et interalliés a permis d’unir forces terrestres et aériennes.
La 4e édition de l’exercice BACCARAT s'est déroulée dans les Alpes du 14 septembre au 25 septembre 2020. Répartis sur 4 départements, les
1 200 soldats, 27 unités et 30 hélicoptères de combat se sont entraînés dans le respect des règles sanitaires liées au COVID-19.
Cet exercice majeur en terrain libre s'est tenu sur un quadrilatère de 150 kilomètres de front sur 250 kilomètres de profondeur comprenant une zone de tirs réels à partir des camps de Mailly et de Sissonne et une zone d’exercice dans le quadrilatère Valence–Grenoble–Gap–Briançon.
Réalisé en partenariat avec la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM), BACCARAT 2020 visait à entretenir les capacités aérocombat des unités de la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC). Les renforts interalliés et les unités de réserve ont permis de s’entraîner au combat haute intensité en milieu montagneux dans un environnement interarmes et interalliés.
Un détachement de 75 Britanniques du 4th regiment Army Air Corps équipé de 3 APACHE participait à l’exercice, un observateur australien était inséré au centre opérationnel de la 4e brigade d’aérocombat et une délégation du service de santé américain a visité l’antenne de réanimation de chirurgie et de sauvetage (ARCS).
L’exercice a eu pour but de consolider les savoir-faire et les modes d’action liés à l’aérocombat face à un ennemi conventionnel équipé de matériels de dernière génération, capable de mener un combat symétrique de haute intensité.
Cet exercice a déroulé une opération interarmes dans un cadre de haute intensité rendu particulièrement difficile par l’environnement montagneux. La présence d’une force adverse conséquente apporta un réalisme accru à l’exercice. Les unités ont réalisé des actions dans la profondeur en combinant les moyens aériens et terrestres. Enfin, l’exercice a été l’occasion de contrôler le poste de commandement du 5e régiment d’hélicoptères de combat et de mettre en œuvre l'intégralité des systèmes d'information et de commandement numérisé.
1 200 soldats, 27 unités et 30 hélicoptères de combat se sont entraînés dans le respect des règles sanitaires liées au COVID-19.
Cet exercice majeur en terrain libre s'est tenu sur un quadrilatère de 150 kilomètres de front sur 250 kilomètres de profondeur comprenant une zone de tirs réels à partir des camps de Mailly et de Sissonne et une zone d’exercice dans le quadrilatère Valence–Grenoble–Gap–Briançon.
Réalisé en partenariat avec la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM), BACCARAT 2020 visait à entretenir les capacités aérocombat des unités de la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC). Les renforts interalliés et les unités de réserve ont permis de s’entraîner au combat haute intensité en milieu montagneux dans un environnement interarmes et interalliés.
Un détachement de 75 Britanniques du 4th regiment Army Air Corps équipé de 3 APACHE participait à l’exercice, un observateur australien était inséré au centre opérationnel de la 4e brigade d’aérocombat et une délégation du service de santé américain a visité l’antenne de réanimation de chirurgie et de sauvetage (ARCS).
L’exercice a eu pour but de consolider les savoir-faire et les modes d’action liés à l’aérocombat face à un ennemi conventionnel équipé de matériels de dernière génération, capable de mener un combat symétrique de haute intensité.
Cet exercice a déroulé une opération interarmes dans un cadre de haute intensité rendu particulièrement difficile par l’environnement montagneux. La présence d’une force adverse conséquente apporta un réalisme accru à l’exercice. Les unités ont réalisé des actions dans la profondeur en combinant les moyens aériens et terrestres. Enfin, l’exercice a été l’occasion de contrôler le poste de commandement du 5e régiment d’hélicoptères de combat et de mettre en œuvre l'intégralité des systèmes d'information et de commandement numérisé.
CORMORAN/BACCARAT 2021 visait à entretenir les capacités "aérocombat" des unités de la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC).
CORMORAN 2021 s’est déroulé pendant 3 semaines du 27 septembre au 15 octobre. Il a engagé près de 1 300 militaires de l’armée de Terre et de la Marine nationale. Cet exercice interarmées d’entrainement au combat haute intensité, a impliqué 2 porte-hélicoptères amphibies. Chacun d’eux avait à son bord 12 hélicoptères de combat. Cet outil de combat a permis la mise en oeuvre d’une capacité unique, capable d’agir en profondeur depuis la mer vers la terre. Les aérocombattants vont maintenant poursuivre leur manœuvre dans un autre environnement, cette fois-ci aux côtés d’autres unités de l’armée de Terre lors de l’exercice BACCARAT.
Pour cette 5e édition, il s'est tenu sur 3 départements: l’Aveyron, la Lozère et le Cantal du 15 au 22 octobre. Cet exercice majeur en terrain libre se déroula sur un rectangle de 80 kilomètres de large et 120 kilomètres de profondeur.
Les renforts interalliés et les unités de réserve ont permis de s’entraîner au combat haute intensité dans un environnement interarmes et interalliés.
L’exercice a eu pour but de consolider les savoir-faire et les modes d’action liés à l’aérocombat face à un ennemi conventionnel équipé de matériels de dernière génération, capable de mener un combat symétrique de haute intensité.
CORMORAN 2021 s’est déroulé pendant 3 semaines du 27 septembre au 15 octobre. Il a engagé près de 1 300 militaires de l’armée de Terre et de la Marine nationale. Cet exercice interarmées d’entrainement au combat haute intensité, a impliqué 2 porte-hélicoptères amphibies. Chacun d’eux avait à son bord 12 hélicoptères de combat. Cet outil de combat a permis la mise en oeuvre d’une capacité unique, capable d’agir en profondeur depuis la mer vers la terre. Les aérocombattants vont maintenant poursuivre leur manœuvre dans un autre environnement, cette fois-ci aux côtés d’autres unités de l’armée de Terre lors de l’exercice BACCARAT.
Pour cette 5e édition, il s'est tenu sur 3 départements: l’Aveyron, la Lozère et le Cantal du 15 au 22 octobre. Cet exercice majeur en terrain libre se déroula sur un rectangle de 80 kilomètres de large et 120 kilomètres de profondeur.
Les renforts interalliés et les unités de réserve ont permis de s’entraîner au combat haute intensité dans un environnement interarmes et interalliés.
L’exercice a eu pour but de consolider les savoir-faire et les modes d’action liés à l’aérocombat face à un ennemi conventionnel équipé de matériels de dernière génération, capable de mener un combat symétrique de haute intensité.
Pour la première fois, trois exercices de niveau brigade ont été combinés pour n’en former qu’un : MANTICORE 2022 :
En s’inscrivant dans la vision stratégique du CEMAT et dans la perspective de l’exercice ORION 2023, MANTICORE se voulait un exercice d’envergure tendant vers la haute intensité. Trois grandes unités représentées ont proposé une combinaison d’exercices en terrain libre à haute valeur ajoutée en termes de préparation opérationnelle.
La 4e brigade d’aérocombat assurit la coordination de ce premier jalon vers une préparation opérationnelle durcie et enrichie d’un environnement dense et complexe.
Durant trois semaines et sur le terrain, les unités participantes se sont entraînées à planifier et conduire des opérations aéroportées et héliportées, dans la profondeur, en appui de la manœuvre aéroterrestre.
La France a ainsi démontré sa capacité à être nation cadre de l’alliance avec l’intégration de plusieurs centaines d’alliés : Espagne, Pays-Bas, États-Unis pour la 4e BAC et la Belgique pour le COM FST et la 11e BP. La 4e BAC a notamment intégré un détachement espagnol dont l’état-major a commandé un groupement aéromobile (GAM).
- l’exercice du commandement des forces spéciales Terre (COM FST) – GORGONES,
- l’exercice de la 11e brigade parachutiste (11e BP) – ACYNONYX,
- l’exercice de la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC) – BACCARAT.
En s’inscrivant dans la vision stratégique du CEMAT et dans la perspective de l’exercice ORION 2023, MANTICORE se voulait un exercice d’envergure tendant vers la haute intensité. Trois grandes unités représentées ont proposé une combinaison d’exercices en terrain libre à haute valeur ajoutée en termes de préparation opérationnelle.
La 4e brigade d’aérocombat assurit la coordination de ce premier jalon vers une préparation opérationnelle durcie et enrichie d’un environnement dense et complexe.
Durant trois semaines et sur le terrain, les unités participantes se sont entraînées à planifier et conduire des opérations aéroportées et héliportées, dans la profondeur, en appui de la manœuvre aéroterrestre.
La France a ainsi démontré sa capacité à être nation cadre de l’alliance avec l’intégration de plusieurs centaines d’alliés : Espagne, Pays-Bas, États-Unis pour la 4e BAC et la Belgique pour le COM FST et la 11e BP. La 4e BAC a notamment intégré un détachement espagnol dont l’état-major a commandé un groupement aéromobile (GAM).
Plaque souvenir de l'exercice représentant les trois unités majeures participantes : COM-FST, 4e BAC, 11e BP (photo 4e BAC).
Du 4 au 15 octobre 2024 s’est déroulé la 7e édition de l’exercice BACCARAT, organisée par la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC).
L’objectif de cet exercice était de développer les modes opératoires des actions dans la profondeur avec les unités du commandement des actions dans la profondeur et du renseignement (CAPR), de l’interarmées, et des unités de l’armée de Terre.
Le déploiement se situait en zone civile (180 * 120 km environ) entre la Champagne et la Lorraine (quadrilatère Reims - Phalsbourg - Épinal - frontière nord).
Il a réuni plus 1 000 militaires issus d’une vingtaine d’unités, 30 hélicoptères et 260 véhicules dont 21 blindés.
Exercice majeur de l’aérocombat, BACCARAT 2024 a constitué une édition particulière en étant le premier exercice conduit dans le cadre du CAPR créé le 1er août 2024.
L’exercice consistait à repousser un ennemi s’étant emparé de territoires d’un pays allié. Durant cette édition de BACCARAT, l'accent a été mis sur les missions de longue distance (150 km), en affrontant un ennemi à parité, bien équipé et entraîné.
La 4e BAC a fait manœuvrer ses hélicoptères dans la profondeur et en avant du dispositif ami avec un contexte de menace anti-aérienne forte.
Des capacités variées furent engagées dans la manœuvre aéroterrestre : avions de chasse de l’armée de l’Air et de l’Espace, unités de renseignement, commandos, troupes d'infanterie et de génie (minage/déminage) ou encore unités de logistique opérationnelle (transport et maintenance, carburant, santé, etc.).
Enfin, le volet interopérabilité a été également représenté avec la participation de drones britanniques venu renforcer les unités françaises en appui de la manœuvre aéroterrestre.
Afin de permettre un entraînement de qualité, des moyens de simulation ont été employés pour représenter au mieux la menace anti-aérienne ennemie.
L’objectif de cet exercice était de développer les modes opératoires des actions dans la profondeur avec les unités du commandement des actions dans la profondeur et du renseignement (CAPR), de l’interarmées, et des unités de l’armée de Terre.
Le déploiement se situait en zone civile (180 * 120 km environ) entre la Champagne et la Lorraine (quadrilatère Reims - Phalsbourg - Épinal - frontière nord).
Il a réuni plus 1 000 militaires issus d’une vingtaine d’unités, 30 hélicoptères et 260 véhicules dont 21 blindés.
Exercice majeur de l’aérocombat, BACCARAT 2024 a constitué une édition particulière en étant le premier exercice conduit dans le cadre du CAPR créé le 1er août 2024.
L’exercice consistait à repousser un ennemi s’étant emparé de territoires d’un pays allié. Durant cette édition de BACCARAT, l'accent a été mis sur les missions de longue distance (150 km), en affrontant un ennemi à parité, bien équipé et entraîné.
La 4e BAC a fait manœuvrer ses hélicoptères dans la profondeur et en avant du dispositif ami avec un contexte de menace anti-aérienne forte.
Des capacités variées furent engagées dans la manœuvre aéroterrestre : avions de chasse de l’armée de l’Air et de l’Espace, unités de renseignement, commandos, troupes d'infanterie et de génie (minage/déminage) ou encore unités de logistique opérationnelle (transport et maintenance, carburant, santé, etc.).
Enfin, le volet interopérabilité a été également représenté avec la participation de drones britanniques venu renforcer les unités françaises en appui de la manœuvre aéroterrestre.
Afin de permettre un entraînement de qualité, des moyens de simulation ont été employés pour représenter au mieux la menace anti-aérienne ennemie.