SOUVENIRS DE JEAN-MARIE CLÉNET, AU PELOTON AVIONS DE LA 5e DB
Au Djebel Didd, avec le PA de la 5e DB Souvenirs et anecdotes de Jean-Marie CLÉNET
Un extrait de l'ouvrage de Jean-Marie CLÉNET. Pour vous donner l'envie d'en savoir plus et d'acheter le livre.
Un extrait de l'ouvrage de Jean-Marie CLÉNET. Pour vous donner l'envie d'en savoir plus et d'acheter le livre.
Une histoire a "toujours une fin". Le 13 août 2022, M. Adrien LABROUCHE, petit-fils de M. Bernard LABROUCHE, prend contact avec le site alat.fr pour essayer de retrouver un pilote que son grand-père avait protégé des fellaghas lors de son atterrissage forcé le 03 septembre 1958 au cours de l'opération "Taupe", afin de pouvoir les mettre en relation. Malheureusement, à cette date, Jean-Marie CLÉNET a déjà rejoint le paradis des pilotes, mais nous avons retrouvé un vétéran qui était au PA de la 5e DB à cette époque et que nous avons mis en contact avec Adrien.
Ci-après, le texte d'Adrien LABROUCHE :
Les rares fois où mon grand-père, brigadier appelé commandant un groupe de combat de la 1ère section de la 3e batterie du 1/12e RAAC, a bien voulu discuter de cette affaire du 3 septembre 1958, il m’a indiqué les faits suivants : l'avion après avoir été abattu a atterri dans un endroit comme une plaine. Arrivé en premier avec son groupe de combat, il a sécurisé la zone et protégé l'équipage des fellagas. Il a voulu ensuite poursuivre ces derniers, mais un gars de la Légion étrangère, (plus probablement du 21e tirailleurs présent lors de l’opération ou des commandos), qui venait d'arriver sur les lieux, lui a dit : "Allez petit, on s’occupe de tout."
Il m’a aussi dit : " J’ai eu du bol, les balles tombaient à mes pieds. Ça sifflait autour…".
Ci-après, le texte d'Adrien LABROUCHE :
Les rares fois où mon grand-père, brigadier appelé commandant un groupe de combat de la 1ère section de la 3e batterie du 1/12e RAAC, a bien voulu discuter de cette affaire du 3 septembre 1958, il m’a indiqué les faits suivants : l'avion après avoir été abattu a atterri dans un endroit comme une plaine. Arrivé en premier avec son groupe de combat, il a sécurisé la zone et protégé l'équipage des fellagas. Il a voulu ensuite poursuivre ces derniers, mais un gars de la Légion étrangère, (plus probablement du 21e tirailleurs présent lors de l’opération ou des commandos), qui venait d'arriver sur les lieux, lui a dit : "Allez petit, on s’occupe de tout."
Il m’a aussi dit : " J’ai eu du bol, les balles tombaient à mes pieds. Ça sifflait autour…".
JMO du 3 septembre 1958 du 1/12e régiment d’artillerie de marine et citation du MDL LABROUCHE (photos Bernard LABROUCHE).