LES AÉRONEFS DU PELOTON MIXTE
AVIONS-HÉLICOPTÈRES DE LA 25e DP
CODES |
APPAREILS |
DATES |
BPA-BPE |
PIPER L-18C |
De septembre 1957 au 30 avril 1961 |
BPF-BPM |
CESSNA L-19E |
Du 04 novembre 1957 au 30 avril 1961 |
BPT-BPZ |
ALOUETTE II |
Du 21 janvier 1960 au 30 avril 1961 |
Indicatif opérationnel : Pastaga, suivi d'une couleur pour les officiers, ou d'un chiffre pour les sous-officiers.
Deux L-19E sur le parking de Batna, en décembre 1960 (photo Jacques GALMICHE). À droite, un L-19E du peloton. Particularités du marquage, l'épaisseur inhabituelle des lettres du code, et la cocarde avec une plage blanche très grande, les couleurs bleu et rouge étant réduites (photo Alain DUVERNOY).
Région de Batna, en décembre 1960, le L-19 24-569/BPF accompagné par l'ALOUETTE II, codée BPY. À droite, à Arris, le 18 mars 1961, deux CESSNA sur le parking. À noter, le "Pastaga" peint sur le capot moteur (photos Jacques GALMICHE).
Présentation, à Philippeville, des roquettes fumigènes montées sur le L-19 n° 24-709/BPK. Utilisées à l'entraînement, elles ne le furent jamais en opération (photos Georges LORIOL).
Évacuation sanitaire d'un blessé avec le BELL codé BNY (photo Norbert KUGEL, via Pierre JARRIGE). À droite, gros plan sur le Lycoming VO-435 et les deux réservoirs de carburant arrimés en haut, de chaque côté du moteur (photo Musée de l'ALAT).
La malédiction du L-19 BPL.
Le 8 février 1961, le CESSNA L-19E n° 24-505, codé BPL, est accidenté à Taberdga, dans les Némentchas. L'appareil, hors d'usage, est remplacé par le n° 24-502, qui reprend le même code BPL. Pas de chance, huit semaines plus tard, le 5 avril, l'appareil s'écrase à Batna. Heureusement, dans les deux accidents, aucun mort ne fut à déplorer. Pour casser cette malédiction, l'appareil remplaçant portera le code BPM (photos Jacques GALMICHE).
Le 8 février 1961, le CESSNA L-19E n° 24-505, codé BPL, est accidenté à Taberdga, dans les Némentchas. L'appareil, hors d'usage, est remplacé par le n° 24-502, qui reprend le même code BPL. Pas de chance, huit semaines plus tard, le 5 avril, l'appareil s'écrase à Batna. Heureusement, dans les deux accidents, aucun mort ne fut à déplorer. Pour casser cette malédiction, l'appareil remplaçant portera le code BPM (photos Jacques GALMICHE).
Février 1961, une bonne chasse pour améliorer l'ordinaire (photo Jacques GALMICHE). À droite, ALOUETTE II, n° 1320/BPU, le 4 mars 1960, à Djidjelli (photo Bernard CHENEL).