BATALAT DE L'OPÉRATION LICORNE
Mandat n° 13 (de mi-août à mi-décembre 2006)
Des éléments du 5e RHC, avec à leur tête le colonel VALETTE d'OSIA, viennent relever le 1er RHC au milieu du mois d'août 2006, pour assumer le détachement ALAT du mandat n° 13 de l'opération Licorne.
Le 26 août, le BATALAT a conduit une manœuvre d'entraînement d'envergure au nord de la Côte d'Ivoire. Outre neuf hélicoptères, deux sections de l'Infanterie, un détachement du poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) et des moyens logistiques du bataillon logistique (BATLOG) ont été engagés au sol et dans les airs.
L'objectif est ambitieux pour cette manœuvre qui constitue également un contrôle opérationnel pour le bataillon. Il s'agit de se déployer dans une zone d'action de 20 000 km² pour permettre aux fantassins d'être héliportés sur cinq sites particuliers, tout en permettant la reconnaissance aéromobile de 45 autres sites. Le tout à 500 kilomètres de la base de départ.
Objectif rempli pour le BATALAT, qui a réalisé cet entraînement avec "foudroyance", il lui a fallu moins de dix heures pour réaliser ce programme avec brio.
Durant cette manœuvre, les équipages restés en alerte à Abidjan ont dû, de façon inopinée et pour une mission réelle, secourir et évacuer leurs alliés bangladais victimes d'un dramatique accident. Deux appareils se sont posés de nuit sur une zone de fortune : une tragique preuve d'efficacité.
Le 2 octobre, le navire l'Ellipse est à quai, il transporte le matériel équipant la relève de l'opération Licorne. Les hélicoptères PUMA et GAZELLE débarquent en Côte d'Ivoire. Dans la cale du navire, les mécaniciens du BATALAT s'affairent. L'opération consiste à tirer les machines sur le quai. Les bâches qui protègent les turbines sont alors enlevées, les pales déchargées par une grue et posées avec précaution au sol. Les mécaniciens remontent minutieusement une à une les pales du rotor principal et du rotor de queue des hélicoptères sur le quai. Quelques heures plus tard, les appareils sont aptes au vol. Dernière inspection de l'officier mécanicien et les PUMA et GAZELLE quittent le port pour le camp du GTIA 43 à Port-Bouët.
Des éléments du 6e RHC viennent relever le 5e RHC en décembre 2006.
Sources.
EMA.
Le 26 août, le BATALAT a conduit une manœuvre d'entraînement d'envergure au nord de la Côte d'Ivoire. Outre neuf hélicoptères, deux sections de l'Infanterie, un détachement du poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) et des moyens logistiques du bataillon logistique (BATLOG) ont été engagés au sol et dans les airs.
L'objectif est ambitieux pour cette manœuvre qui constitue également un contrôle opérationnel pour le bataillon. Il s'agit de se déployer dans une zone d'action de 20 000 km² pour permettre aux fantassins d'être héliportés sur cinq sites particuliers, tout en permettant la reconnaissance aéromobile de 45 autres sites. Le tout à 500 kilomètres de la base de départ.
Objectif rempli pour le BATALAT, qui a réalisé cet entraînement avec "foudroyance", il lui a fallu moins de dix heures pour réaliser ce programme avec brio.
Durant cette manœuvre, les équipages restés en alerte à Abidjan ont dû, de façon inopinée et pour une mission réelle, secourir et évacuer leurs alliés bangladais victimes d'un dramatique accident. Deux appareils se sont posés de nuit sur une zone de fortune : une tragique preuve d'efficacité.
Le 2 octobre, le navire l'Ellipse est à quai, il transporte le matériel équipant la relève de l'opération Licorne. Les hélicoptères PUMA et GAZELLE débarquent en Côte d'Ivoire. Dans la cale du navire, les mécaniciens du BATALAT s'affairent. L'opération consiste à tirer les machines sur le quai. Les bâches qui protègent les turbines sont alors enlevées, les pales déchargées par une grue et posées avec précaution au sol. Les mécaniciens remontent minutieusement une à une les pales du rotor principal et du rotor de queue des hélicoptères sur le quai. Quelques heures plus tard, les appareils sont aptes au vol. Dernière inspection de l'officier mécanicien et les PUMA et GAZELLE quittent le port pour le camp du GTIA 43 à Port-Bouët.
Des éléments du 6e RHC viennent relever le 5e RHC en décembre 2006.
Sources.
EMA.